
Erreur médicale - décès de mon époux
Notre père, mon époux est décédé il y a 6 ans déjà. Il avait à peine 53 ans.
53 ans, c’est donc l’âge qu’avait Jean-Luc quand il est entré un soir de novembre 2008 au service d’urgence d’une clinique, orienté par son médecin généraliste. Le lendemain, il était mort…
Pourquoi ? La réponse nous l’avons eu grâce à l’aide de Maître Benayoun. Nous l’avons choisi car il est spécialisé en droit médical et surtout parce qu’il a signé une charte ne défendant que les patients. Il n’est jamais du côté des médecins. Il n’y a donc pas de conflit d’intérêts.
Maître Benayoun nous a expliqué les 2 procédures possibles : pénale ou amiable. Ce qui nous a plu, c’est qu’il ne se lance pas « à la légère ». Il s’appuie d’abord sur l’avis d’un médecin expert afin de vérifier les premiers éléments du dossier et afin de savoir ce qu’il manque.
Nous avons donc consulté un médecin dans le 33. En effet, nous avons fait le choix de ne pas voir d’expert sur le 31 (trop de risques que les médecins incriminés et l’expert se connaissent….).
Au final, nous savons pourquoi notre père, mon époux est décédé. Parce que la clinique en question a dysfonctionné dans l’organisation médicale et parce qu’il y a eu un défaut de surveillance de la part d’un infirmier.
Nous avons été indemnisés ainsi que les petits-fils qui avaient à l’époque 18 mois et un peu moins de 6mois… mais cela ne remplacera pas la perte de Jean-Luc.
Maître Benayoun nous a épaulés, vu pleurer, donné des explications. Il a été d’une grande patience et d’une grande humanité.
Nous le remercions pour tout ce qu’il a fait. Il était important de connaître la vérité, il était important de comprendre pourquoi Jean Luc est mort si jeune et si brutalement. Même si cette procédure est éprouvante, nous ne pouvons que conseiller de se battre pour faire exploser la vérité. Cette démarche est aidante pour le processus de deuil.
Depuis notre expérience, nous conseillons le cabinet de Maître Benayoun lorsque nous rencontrons des personnes, des familles qui …hélas…ont besoin des services d’un avocat spécialisé en droit médical.
La famille C.
JLC, 53 ans